Oui, ça a été assez laborieux pour lancer la partie. La liste des mods requis ne correspondait pas à la liste affichée. Et pour cause: il en faut un de plus qu'indiqué, et pas n'importe lequel.
Finalement, tout le monde se retrouve avec un carte Kunduz mais pas la bonne. Du moins, on avait celle avec les portes toutes verrouillées. Difficile donc d'entrer dans les maison pour les fouiller et délivrer l'otage retenu.
Bon, dans la mesure où c'est un journaliste, vous voyez ce que j'en pense, hein. Inutile de revenir sur l'histoire de ces deux idiots qui n'ont pas suivi les recommandantions du ministère des affaires étrangères et qui, nonobstant d'avoir mis la vie en danger d'hommes venus les sauver, ils n'ont eu ensuite pour eux que le plus grand mépris. Bref.
Nous espérions pouvoir profiter de la nuit pour nous infiltrer discrètement mais malheureusement, le jour s'est très vite levé. L'avantage des JVN devint vite caduque.
Autre cause de désespoir, notre infirmier, le seul à pouvoir stabiliser les blessés, n'était pas équipé en trousse médicale. Autant dire que lorsqu'il est tombé lui même à terre, l'opération a tourné au fiasco!
Une équipe de 4 binômes ou 3 trinômes me parait le format requis pour venir à bout de ce scénario. A 6, il faut rester extrêmement discipliné dans la progression et les appuis mutuels.
Malheureusement, ça ne nous a pas suffi.
Décidément, hier soir, tous les éléments étaient déchaînés contre nous!
Les premières lueurs apparaissent, mais le groupe des Pléïades reste toujours bien visible dans le ciel.
Toi, mon gars, tu vas croquer pour tout ce que tu nous as fait

Tous les chemins mènent au rhum.