La bête:
Le bougre est petit, mais costaud. Au départ, j'ai pensé que l'emport était assez faible. Probablement en short take-off, comme depuis un porte-aéronefs. Mais sur piste, il y a moyen de charger le coco.
Ici, deux missiles anti-radiations en extrémité d'ailes, 4 x JDAM et 2 x GBU. Ca permet déjà de traiter quelques panzers

En ventral, l'indispensable TPOD pour désigner laser.
Dépucelage:
Cet appareil n'est pas très beau, mais il possède d'autres qualités. En fait, c'est comme un moustique: assez vulnérable mais relativement chiant quand il reste hors de portée

Ce qui m'a fait craquer, et vous ne serez sans doute pas surpris, ce sont les roquettes APKS. Il existe l'équivalent sur le JF-17, et c'était mon armement préféré. Ca le redevient.
En arrière plan, quelques blindés viennent d' en faire les frais.
L'AV-8B est un peu aux cold war ce que SH3 est à la sous-marinade: ça sent l'huile et le carburant. Tout est tellement plus simple dans mon F16C. Malgré tout, ce n'est pas le même plaisir.
L'avion des Marines se plaira sans doute aux fond des canyons ou entre deux fjords, à n'en pas douter. Car ici, tout se fait à très courte portée: n'imaginez pas engager SEAD à 30 Nm... Un SA-8 vous causera de toutes autres frayeurs que sur un chasseur moderne.
J'arrive également à atterrir (oui, c'est con de le dire!), mais pour l'apontage ou le ravito en l'air, je sens que je vais en suer plus que Benhur lors de son "engagement" dans les galères grecques.