
Le combat fut âpre et après 3H de jeu, nous n'avions toujours pas rempli les premiers objectifs de mission: la contre-attaque sur l'armada adverse devra donc attendre le renfort d'autres joueurs.
A moins qu'elle fasse l'objet d'un nouveau scénario à elle seule tellement il y a faire.

Le Nantais, en piqué, sous le feu ennemi:

Tenter de couler les LST à coups de GBU-12 s'avèrera peu efficace...

Le Phantom tente à l'AMG-65...

Il faut prévoir plus gros!

Le volet air-air n'est pas oublié.

En Harrier, le mieux est de profiter du relief pour maximiser ses chance. Avec la technique de la "Girafe", j'abattrai ainsi un F1C!

Puis une proie plus facile: un S-3B...

Malheureusement, j'enregistrerai aussi un tir fratricide, croyant engager un MIG-21bis, j'envoie le breton au fond

Pendant ce temps là, le Hermes se fait engager:

Les Mirage argentins ne se priveront pas de venir bombarder notre dernière piste encore opérationnelle:

Sol se chargera de se rappeler au bon souvenir de ces mécréants:

En conclusion: il y a plus à faire que je ne le pensais. Et à deux joueurs, c'est vraiment dense.
La carte et les décors changent vraiment des terrains désertiques et les distances à parcourir par l'adversaire nous laisse le champ libre durant 1H15/1H30.
Ensuite, on se sent un peu submergé. Mais nul doute que nous atteindrons le but!